25 mai 2017
24 mai 2017
RISE (Critique)
(RISE : BLOOD HUNTER aka L'EVEIL : SOIF DU SANG aka LA SETTA DELLE TENEBRE)
de Sebastian Gutierrez
avec
Lucy Liu, James D'Arcy, Michael Chiklis, Margo Harshman, Mako, Allan
Rich, Carla Gugino, Cameron Richardson, Cameron Goodman, Holt McCallany,
Samantha Shelton, Kevin Wheatley, Marilyn Manson...
Fantastique – Etats-Unis / Nouvelle-Zélande (2007)
Tuée
par des vampires, une journaliste se réveille à la morgue et réalise
qu'elle est devenue, je vous le donne en mille, un vampire ! Elle
décide alors de se venger de ceux qui lui ont infligé cela...
Lucy Liu (KILL BILL) en vampire vengeresse, voilà de quoi aiguiser nos canines, non ? Eh bien, finalement pas vraiment...
Ecrit et réalisé par Sebastian Gutierrez (réalisateur entre autres du sympathique JUDAS KISS et scénariste sur DES SERPENTS DANS L'AVION), RISE
ne restera pas dans les annales du film de vampire, faute
principalement, à un scénario des plus linéaires et donc sans grand
intérêt.
Cela malgré un très bon casting : la bombe atomique Lucy Liu donc, toujours aussi sexy, Michael Chiklis (la série THE SHIELD) en flic (bon je sais c'est pas très original) et James D'Arcy (L'EXORCISTE : AU COMMENCEMENT) dans le rôle du méchant. On a même droit à un cameo de Marilyn Manson en barman tatoué.
Malheureusement RISE n'exploite jamais réellement le côté sexuel ou gore de son thème, ni la psychologie de ses personnages. Du coup, il
ressemble plus à un pilote de série qu'à un vrai film de genre et ce
n'est pas la fin grande ouverte, laissant entrevoir de prochaines
retrouvailles entre la vampire sexy et le flic teigneux, qui me
contredira...
14 mai 2017
EMMANUELLE A CANNES (Critique)
(aka EMMANUELLE GOES TO CANNES)
de Jean-Marie Pallardy (sous le pseudo de Boris Pradlay)
avec Olinka, Gabriel Pontello, Paola Farrow, Mike Monty, Zeta Whitehouse...
Erotique – France (1980)
Emmanuelle,
strip-teaseuse tendance prostipute, rêve de gloire et de paillettes.
Aussi décide-t-elle de tout lâcher pour tenter sa chance au festival de
Cannes.
Malgré ce que le titre peut laisser supposer, ce film n’a rien à voir avec le personnage créé
par Emmanuelle Arsan. Il ne s’agit là que d’un argument de vente,
l’érotisme présent ici n’a rien d’exotique ou de glamour, loin de là.
Film très désabusé limite triste, EMMANUELLE A CANNES
nous montre une image peu reluisante du festival de Cannes où des
starlettes s’exhibent devant les objectifs des paparazzi et autres
badauds et se font sauter par des pseudo producteurs dans le seul but de
toucher leur rêve du bout des doigts : faire du cinéma.
Ce postulat de base, pas forcément inintéressant est mal exploité et EMMANUELLE A CANNES
peine à captiver tant la mise en scène est plate et les scènes
érotiques peu attractives. A l’action répétitive se rajoute un montage
épileptique, notamment lors de certaines scènes de fesses, qui laisse
supposer l’existence d’une version plus explicite que celle proposée par
l’éditeur Le Chat qui Fume.
13 mai 2017
LE JOUR DES FOUS (Critique)
(SLAUGHTER HIGH aka APRIL'S FOOLS DAY aka JOLLY KILLER aka EL DIA DE LOS INOCENTES aka MASSACRE NO LICEU)
de George Dugdale, Mark Ezra et Peter Litten
avec Caroline Munro, Simon Scuddamore, Carmine Iannaccone, Donna Yeager, Gary Martin, Josephine Scandi, Marc Smith, Dick Randall, Sally Cross, Kelly Baker...
On avait déjà eu droit aux psychokillers adeptes de Noël (DOUCE NUIT, SANGLANTE NUIT, BLACK CHRISTMAS...), de la Saint Valentin (MORTELLE SAINT VALENTIN), de Halloween (je vous laisse deviner le titre), et j'en passe et des pires... Avec LE JOUR DES FOUS on a notre tueur du 1er avril !
Vivement
un tueur du lundi de Pentecôte ! Comment ça, ça n'existe plus ? Oups
désolé... Vivement un tueur de la journée de solidarité !
Si
vous aimez les slashers ultra-classiques, vous allez être servis : dans
un lycée, la bande habituelle d'ados sportifs et décérébrés (en gros
qu'avec des acteurs d'au moins 25 balais) s'en prend continuellement à
Marty (grosses lunettes, look du 1er de la classe). La blague de trop et
là c'est l'incident : Marty se retrouve défiguré...
Quelques
années plus tard, tout ce joli monde (sauf Marty donc) est invité pour
une petite sauterie d'anciens élèves, mais ils se retrouvent seuls, pris
au piège dans leur ancien lycée maintenant à l'abandon. Comme vous vous
en doutez, ils vont se faire dessouder les uns après les autres par un
tueur portant un masque de fou du roi.
On a bien sûr droit (mais c'est aussi pour ça qu'on aime les slashers) :
- aux victimes stupides qui s'obstinent à se séparer et agissent en dépit du bon sens ;
- aux courses-poursuites dans des couloirs et des escaliers (enfin dans un seul et unique couloir et dans un seul et unique escalier) ;
- à une paire de seins par-ci par-là ;
- et à des meurtres tous différents.
10 mai 2017
02 mai 2017
ZONE BLANCHE - SAISON 1 EPISODE 7 (Réplique de la mort qui tue)
"A mon avis ça sent bon comme un vieux qui se fait dessus devant Les Chiffres et les Lettres"
01 mai 2017
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