LES EXPERIENCES EROTIQUES DE FRANKENSTEIN (Critique)

(aka LA MALDICION DE FRANKENSTEIN aka THE CURSE OF FRANKENSTEIN aka THE EROTIC RITES OF FRANKENSTEIN aka LA MALEDICTION DE FRANKENSTEIN)

de Jess Franco

avec Beatriz Savon, Alberto Dalbés, Dennis Price, Howard Vernon, Anne Libert, Fernando Bilbao, Doris Thomas, Jess Franco, Lina Romay...

Fantastique – France (1972)

Bon, que les choses soient claires immédiatement, malgré le titre, il n'y a aucune expérience érotique réalisée par le Dr Frankenstein dans ce film. Mais rassurez-vous il y a quand même pas mal d'érotisme et les demoiselles sont très jolies...

Point de vue pitch c'est un peu le grand n'importe nawak mais en gros, juste après avoir donné la vie à sa créature, le Dr Frankenstein (Dennis Price) est tué par les sbires de Cagliostro (Howard Vernon) qui enlèvent le monstre. En effet, Cagliostro veut l'accoupler avec une femme qu'il va concevoir de toute pièce histoire d'engendrer une race supérieure. Mais la fille du docteur Frankenstein (Beatriz Savon) ne l'entend pas de cette oreille et part à la recherche de la créature.

Pour être honnête, il n'y a pas grand chose à récupérer dans ce film mis à part une scène de torture bien barrée où Beatriz Savon (qui a décidément un nom à jouer dans des "Women in Prison") est attachée nue à un homme, nu lui aussi. Ils seront fouettés jusqu'à ce que l'un deux s'effondre et s'empale sur des pieux...

Le reste du film est constitué de scènes ridicules nous présentant tout de même un bestiaire des plus original entre une créature de Frankenstein au physique de lutteur Turc recouvert de peinture argentée et une femme vampire-oiseau (rien que ça !), moitié à plumes mais surtout à poil !

EMANUELLE ET LES DERNIERS CANNIBALES (Critique)

(EMANUELLE E GLI ULTIMI CANNIBALI aka VIOL SOUS LES TROPIQUES aka EMANUELLE CHEZ LES CANNIBALES aka BLOODY TRACK aka BLACK EMANUELLE UND DIE LETZTEN KANNIBALEN)

de Joe d'Amato

avec Laura Gemser, Gabriele Tinti, Susan Scott, Monica Zanchi, Donald O'Brien, Anne Maria Clementi, Geoffrey Copleston, Dirce Funari, Percy Hogan...

Cannibales / Erotique – Italie (1977)

Lors d’un reportage dans un établissement psychiatrique, Emanuelle, journaliste et photographe, découvre une jeune femme portant le symbole d’une tribu anthropophage censée avoir disparu. Elle convainc son journal de monter une expédition et part dans la jungle à la recherche des cannibales…

Sur le papier EMANUELLE ET LES DERNIERS CANNIBALES a tout pour plaire. Outre la présence de Joe d’Amato (ANTHROPOPHAGOUS) à la réalisation, on retrouve les principaux acteurs du très bon EMANUELLE ET LES COLLEGIENNES, notamment le duo de charme Laura Gemser et Monica Zanchi. Vous ajoutez la savoureuse Susan Scott (VICIEUSE ET MANUELLE) et l’habitué des westerns spaghetti Donald O'Brien (MANNAJA, L'HOMME A LA HACHE) et vous obtenez un casting à faire pâlir tout amateur de bisseries et de films olé-olé. Comme une nonne est de l’expédition (élément indispensable à tout bon film d’exploitation à l’Italienne) et que les cannibales sont affamés, comme il se doit, de chair fraîche (dans tous les sens du termes), on est en droit d’espérer un film bien barré et déviant.

Las, le film ne tient pas ses promesses et hormis la scène d’ouverture (la découverte de la patiente cannibale tendance lesbienne et tatouée… rien que ça !) totalement bis et jouissive, le film se réduit à un salmigondis de scènes inutiles ou mal torchées. Les personnages ne sont jamais exploités et même Gabriele Tinti (BLACK EMANUELLE EN AMERIQUE) semble transparent tant son rôle d’ethnologue mou du genou se limite au final à une prestation horizontale avec Laura Gemser (qui, pour la petite histoire, était sa compagne à la ville).

FLASHBACK (Critique)

(FLASHBACK – MÖRDERISCHE FERIEN)

de Michael Karen

avec Valerie Niehaus, Xaver Hutter, alexandra Neldel, Simone Hanselmann, Erich Schleyer, Elke Sommer, Katja Woywood, Fabian Zapatka, Christian Näthe, Allegra Curtis, Nicola Etzelstorfer, Michael Greiling...

Thriller – Allemagne (2000)

Enfant, Jeanette a assisté au meurtre de ses parents et vient de passer 10 ans en hôpital psychiatrique. Son médecin pense qu'il est temps pour elle de sortir, elle se retrouve donc au milieu de la campagne alpine (c'est tentant mais je résiste...) à donner des cours d'été à trois gosses de riches qui préfèrent la fête aux études. Tout se passerait pour le mieux si les évènements étranges ne se multipliaient autour d'elle. S'agit-il d'une mauvaise farce ? le tueur à la faucille l'aurait-il retrouvé ? Jeanette, à force de côtoyer des maboules, a-t-elle grillé un plomb ? C'est ce que vous saurez en regardant FLASHBACK !

En effet, FLASHBACK tient plus du thriller que du slasher à proprement parler (rassurez-vous, il y a quand même pas mal de meurtres) et jouit d'un scénario habile qui permet de nous plonger dans une intrigue bien ficelée et non dénuée d'humour noir. Humour qui, pour une fois, ne dessert pas l'histoire, le côté thriller ne passant jamais au second plan.

Pour ne rien gâcher, le rôle principal est interprété par Valerie Niehaus, qui non seulement est charmante mais qui en plus joue très bien... Personnellement, je ne la connaissais pas du tout : les séries allemandes dans lesquelles elle a joué ne faisant pas partie de celles que je regarde. 

WHITE SLAVERS (Critique)

 

(DIE MÄDCHENHÄNDLER aka THE GIRL TRADERS aka FLESH TRADERS aka MARCHANDS DE FILLES aka PENTHOUSE PLAYGIRLS)

de Erwin C. Dietrich

avec Nadine de Rangot, Margrit Siegel, Melitta Tegeler, Rena Bergen, Libero Guidi, Rolf Häubi, Ilonka List, Monica Marc, Christa Free, Chitta Coray, Peter Baumgartner, Erwin C. Dietrich, Walter Kraus, Josef Moosholzer...

Erotique - Suisse (1972)

Drôle de film que WHITE SLAVERS qui, sur un ton enjoué voire de la comédie, nous décrit une organisation qui fait dans la traite des blanches. Les femmes victimes de cette organisation prennent même la situation avec sourire et enthousiasme. On peut même aller jusqu'à dire qu'elles s'épanouissent dans leur nouveau job !

Vous l'aurez compris si vous pensiez visionner un film dénonçant le trafic d'êtres humains passez votre chemin, en effet, mis à part les femmes destinées au "marché" arabe pour lesquelles la situation est présentée comme sordide et horrible, pour les autres c'est vraiment sympa de finir dans un bordel zurichois où l'ambiance est plus à la gaudriole qu'à l'exploitation.

Vous me direz, on attend pas d'un film érotique qu'il dénonce quoi que ce soit et vous avez raison, la traite des blanches est juste un prétexte pour montrer de la chair fraiche et y'a pas à dire on est servi. Par contre, il faut quand même reconnaître que les canons de la beauté helvète ont pas mal évolué. On réservera donc ce film aux amateurs(trices) de femmes bien charpentées (grosse poitrine, hanches bien larges et cellulite sur les fesses pour la plupart) et d'hommes poilus et trapus.

Réalisé par l'immense Erwin C. Dietrich qui produisit de nombreux "chefs-d'oeuvre" de l'exploitation (les siens, quelques uns de Jess Franco et plus récemment l'excellent KILLER KONDOM tiré de la BD de Ralf König) WHITE SLAVERS est juste un produit de sexploitation misogyne et daté, au scénario minimaliste dont le seul intérêt, à mon sens, provient d'un humour à 2 francs suisses qui ferait passer les films de Max Pécas pour des monuments de la comédie.

NUE POUR L'ASSASSIN (Critique)

(NUDE PER L'ASSASSINO aka STRIP NUDE FOR YOUR KILLER)

d'Andrea Bianchi

avec Edwige Fenech, Nino Castelnuovo, Femi Benussi, Amanda, Lucio Como, Erna Schürer, Solvi Stubing, Franco Diogene, Gianni Airò, Claudio Pellegrini, Silvana Depreto...

Giallo – Italie (1975)

Lors d'un avortement clandestin, une jeune femme meurt. Avec l'aide d'un inconnu, le médecin maquille le tout en mort naturelle. Quelques temps plus tard, il est tué par un motard casqué et tout de noir vêtu... Puis les meurtres s’enchaînent dans le studio de photographie de mode (enfin plutôt de charme) où la jeune femme travaillait...

Vous l'avez compris, nous sommes dans un giallo où l'on retrouve (oh surprise!) un couple qui, parallèlement à la police, mène l'enquête et pourchasse un tueur mystérieux et insaisissable... Mais là où le film est un peu différent des autres, c'est dans le choix que fait Andrea Bianchi de mélanger meurtres sanglants et scènes très légères, gentiment sexy voire carrément comiques.

On retrouve d'ailleurs dans le rôle principal une habituée des comédies légères à l'italienne : la sublime Edwige Fenech (le cultissime TOUTES LES COULEURS DU VICE)... aaaahhhh Edwige... mais aussi Femi Benussi (l'excellent THE KILLER MUST KILL AGAIN) nue dans toutes ses scènes ou presque... aaaahhhh Femi...

DETOUR MORTEL 6 (Critique + Gif animé)

(WRONG TURN 6 : LAST RESORT aka SORTIE FATALE 6)

 

de Valeri Milev

avec Anthony Ilott, Aqueela Zoll, Chris Jarvis, Sadie Katz, Roxanne Pallett, Rollo Skinner, Billy Ashworth, Radoslav Parvanov, Danko Jordanov, Asen Asenov, Talitha Luke-Eardley, Harry Belcher, Luke Cousins, Kicker Robinson, Joe Gaminara...

Horreur / Etats-Unis (2014)

Comme le veut la tradition des DETOUR MORTEL, ce nouvel opus démarre sur les chapeaux de roue avec une scène de pré-générique très réussie mêlant érotisme soft et gore qui tache.

Après cette mise en bouche bien sympathique, le film entre dans le vif du sujet avec sa traditionnelle bande de jeunes citadins en visite dans les Appalaches pour une obscure histoire d'héritage les amenant dans un superbe hôtel d'un autre temps. Lieu propice aux meurtres et aux galipettes...

Point de vue galipettes, le contrat est plus que rempli puisque toutes les actrices encore consommables se retrouvent systématiquement à poil et comme elles sont toutes plus jolies les unes que les autres, ce n'est pas moi qui vais m'en plaindre.

Là où le bât blesse c'est au niveau des meurtres et donc du gore : nos chers visiteurs vont bien sûr se faire trucider mais, mis à part un meurtre ou deux, la manière n'y est pas. Nos chers débiles consanguins à tendance cannibale manquent cruellement d'inspiration.

DETOUR MORTEL 5 (Critique + Gifs animés)

(WRONG TURN 5 : BLOODLINES)

de Declan O'Brien

avec Doug Bradley, Camilla Arfwedson, Roxanne McKee, Simon Ginty, Amy Lennox, Radoslav Parvanov, George Karlukovski, Borislav Iliev, Peter Brooke, Oliver Hoare, Emilia Klayn...

Horreur – Etats-Unis (2012)

Après un épisode 4 que j’avais trouvé des plus réussis, j’attendais avec une impatience non feinte les nouvelles aventures de mes dégénérés consanguins à tendance cannibale préférés. Attente non récompensée à sa juste valeur.

Même si elle est moins barrée que les précédentes, la scène d’ouverture fait encore illusion et laisse une lueur d’espoir. On retrouve en effet ce qui constitue la marque de fabrique des séquelles de DETOUR MORTEL : du gore, des crétins et des p’tites pépées (désolé, je viens de voir un film avec Eddie Constantine).

Plombé par un scénario qui ne tient pas la route une seconde, le reste du film s’avère peu palpitant. La disparition du côté survival de la saga au profit d’un jeu de massacre où les victimes s’entassent à vitesse grand V rend le suspense quasi inexistant. Les fondamentaux sont tout de même respectés : le sang coule à flot et les exécutions restent funs.

MORTELLE SAINT-VALENTIN (Gifs animés)

MORTELLE SAINT-VALENTIN de Jamie Blanks

DETOUR MORTEL 4 : ORIGINES SANGLANTES (Critique + Gifs animés)

(WRONG TURN 4 : BLOODY BEGINNINGS)

de Declan O'Brien

avec Jennifer Pudavick, Tenika Davis, Kaitlyn Leeb, Terra Vnesa, Victor Zinck Jr, Ali Tataryn, Dean Armstrong, Arne MacPherson, Samantha Kendrick, Sean Skene, Blane Cypurda, Dan Skene, Kristen Harris...

Horreur / Gore – Allemagne / Etats-Unis (2011)

Virginie Occidentale : 1974. Dans un sanatorium où sont parqués tous les dégénérés consanguins du coin (et apparemment c’est pas ce qui manque), trois frères encore plus atteints que les autres s’échappent, libèrent leurs potes bas du front et massacrent le personnel médical.

30 ans plus tard, alors qu'une tempête de neige fait rage, des fêtards à la recherche d'un chalet qu'ils ne trouveront jamais se réfugient dans ledit sanatorium apparemment abandonné...

Avec cet épisode 4, finies les promenades bucoliques en forêt, place à un classique de l’horreur : l’hôpital psychiatrique désaffecté.

Comme on retrouve aux manettes de cette séquelle Declan O’Brien, déjà responsable du catastrophique opus 3, on pouvait s’attendre au pire. Que nenni ! Même s’il ne révolutionne pas le genre (ce n’était d’ailleurs probablement pas son but), Declan O’Brien nous offre un très bon divertissement mêlant gore, érotisme soft (au tout début du film) et humour noir (la scène de la fondue).

DETOUR MORTEL 3 (Critique + Gifs animés)

(WRONG TURN 3 : LEFT FOR DEAD)

de Declan O’Brien

avec Tom Frederic, Janet Montgomery, Tamer Hassan, Christian Contreras, Gil Kolirin, Jake Curran, Tom McKay, Borislav Iliev, Bill Moody, Louise Cliff... 

Horreur - Allemagne / Etats-Unis (2009)

DETOUR MORTEL 3 débute sous les meilleurs auspices : deux couples descendent une rivière en kayaks et décident de faire une halte. Résultat : trois meurtres bien gores et une paire de seins au compteur. Tout ça en moins de sept minutes chrono.

Après cette mise en bouche du plus bel effet, direction un pénitencier avec de gros méchants tatoués qu’on transfère dans un autre établissement en évitant soigneusement les voies rapides.

Forcément après ce départ sur les chapeaux de roues, on est en droit d’espérer un bon gros gore des familles pas forcément fute-fute mais bien bourrin avec des taulards qui se foutent sur la gueule avec des dégénérés consanguins à tendance cannibale.

Que nenni, contraints de traverser la forêt de nuit après le crash de leur fourgon, nos chers repris de justice, pensant plus à fuir qu’à se défendre, vont marcher, se chamailler comme des donzelles, prendre des décisions stupides, re-marcher, se re-chamailler comme des donzelles, re-prendre des décisions stupides, re-re-marcher, se re-re-chamailler comme des donzelles, etc… oups, j’allais oublier : accessoirement se faire dézinguer.

DETOUR MORTEL 2 (Critique)

(WRONG TURN 2 : DEAD END)

de Joe Lynch

avec Erica Leerhsen, Texas Battle, Henry Rollins, Crystal Lowe, Kimberly Caldwell, Daniella Alonso, Aleksa Palladino, Matthew Currie Holmes, Steve Braun, Rorelee Tio, Ken Kirzinger, Wayne Robson...

Horreur / Survival – Etats-Unis (2007)

Rien de nouveau sous le soleil avec ce DETOUR MORTEL deuxième du nom. La seule différence avec le premier provient du côté télé-réalité qui, au final, ne sert qu’à justifier la présence des protagonistes au fin fond d’une forêt de Virginie Occidentale.

Je regrette, pour ma part, l’oubli du concept tenant dans le titre : hormis la première victime, personne ne prend une route inconnue dans l’espoir de trouver un raccourci. Dans DETOUR MORTEL 2, les futurs macchabées sont là pour un show télévisé.

L’univers de la télé-réalité aurait de plus mérité d’être mieux exploité : celui-ci est déjà très présent dans les films d’horreur (HALLOWEEN RESURRECTION, SLASHERS pour ne citer qu’eux) et n’a donc rien de très original.

Comme de bien entendu, on a droit au traditionnel panel de victimes potentielles : un sportif, une bimbo (ce qui permet un début de commencement de soupçon d’érotisme), un crétin, une intellectuelle, etc…

Bien sûr tout ce beau monde bien propret va être confronté, oh surprise, à une bande de dégénérés consanguins à tendance cannibale et vont être massacrés les uns après les autres.

DETOUR MORTEL 2 est donc un survival on ne peut plus classique dont l’intérêt réside dans ses scènes de démembrements (mais également de découpages, de lacérations, de décapitations, d’éviscérations…) nombreuses et bien gores. L’avantage du gore c’est que les spectateurs en ont pour leur argent, son inconvénient quand il est trop présent et too much comme ici : le côté grand guignol qui annihile toute la tension inhérente au survival. On se fout qu’ils s'en sortent ou non du moment que ça gicle.

LA TERREUR DES ZOMBIES (Gifs animés)

EMANUELLE ET LES COLLEGIENNES (Critique + Réplique de la mort qui tue)

(SUOR EMANUELLE aka EMMANUELLE ET LES COLLEGIENNES aka SISTER EMANUELLE aka DIE NONNE UND DAS BIEST)

de Giuseppe Vari (sous le pseudo de Joseph Warren)

  

avec Laura Gemser, Mónica Zanchi, Gabriele Tinti, Vinja Locatelli, Dirce Funari, Rik Battaglia, Pia Velsi, Patrizia Sacchi, Mario De Vico...

Erotique – Italie (1977)

Emanuelle a fait un trait sur sa vie dissolue et est rentrée dans les ordres. C'est donc sous le nom de Sœur Emanuelle que l'on retrouve mon Emanuelle (avec un ou deux "m") préférée : Laura Gemser (j'ai toujours trouvé Sylvia Kristel sublime mais Laura Gemser est vraiment hallucinante...).

Attention rien à voir avec la vieille en baskets qui squattait la télé dans les années 90 : ici aussi Dieu est amour mais avec du poil autour.

Emanuelle a donc rencontré Dieu et, décidée à le servir, s'occupe de jeunes filles dans un établissement catholique plus proche de la prison que du lycée. Une nouvelle élève, Monica, à la sexualité très débridée met en branle cet équilibre précaire et réveille la libido d'Emanuelle qui n’en demandait pas tant. Résistera-t-elle à l'appel du stupre ? C'est tout l'enjeu de EMANUELLE ET LES COLLEGIENNES, qui, en bon film d'exploitation, enchaîne les scènes érotiques sans trop tomber dans le graveleux.