(WRONG TURN 4 : BLOODY BEGINNINGS)
avec
Jennifer Pudavick, Tenika Davis, Kaitlyn Leeb, Terra Vnesa, Victor
Zinck Jr, Ali Tataryn, Dean Armstrong, Arne MacPherson, Samantha
Kendrick, Sean Skene, Blane Cypurda, Dan Skene, Kristen Harris...
Horreur / Gore – Allemagne / Etats-Unis (2011)
Virginie
Occidentale : 1974. Dans un sanatorium où sont parqués tous les
dégénérés consanguins du coin (et apparemment c’est pas ce qui manque),
trois frères encore plus atteints que les autres s’échappent, libèrent leurs potes bas du front et massacrent le personnel médical.
30 ans plus tard, alors qu'une tempête de neige fait rage, des fêtards à
la recherche d'un chalet qu'ils ne trouveront jamais se réfugient dans
ledit sanatorium apparemment abandonné...
Avec
cet épisode 4, finies les promenades bucoliques en forêt, place à un
classique de l’horreur : l’hôpital psychiatrique désaffecté.
Comme on retrouve aux manettes de cette séquelle Declan O’Brien, déjà responsable du
catastrophique opus 3, on pouvait s’attendre au pire. Que nenni ! Même
s’il ne révolutionne pas le genre (ce n’était d’ailleurs probablement
pas son but), Declan O’Brien nous offre un très bon divertissement
mêlant gore, érotisme soft (au tout début du film) et humour noir (la
scène de la fondue).
Ultra classique dans sa construction, DETOUR MORTEL 4
respecte les codes du genres : les filles sont jolies, les garçons
crétins, les meurtres sanglants (c’est un euphémisme) et les dégénérés
consanguins à tendance cannibale (très prononcée, la tendance...) ressemblent à Donatella Versace pendant une grève des coiffeurs…
Contre toute attente, DETOUR MORTEL 4
est une bonne surprise, s’avère donc très fréquentable et relance une
franchise pourtant mise à mal par ses précédentes séquelles.
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