06 décembre 2016

DOUCE NUIT, SANGLANTE NUIT 2 (Critique + Gif animé)

(SILENT NIGHT, DEADLY NIGHT PART 2 aka NATAL SANGRENTO 2 RETORNO MACABRO aka STILLE NACHT, HORROR NACHT TEIL 2 aka NOITE DE SILENCIO, NOITE SANGRENTA PARTE 2...)


de Lee Harry


avec Eric Freeman, James L. Newman, Elizabeth Kaitan, Jean Miller, Darrel Guilbeau, Brian Michael Henley, Corrine Gelfan, Michael Combatti, Frank Novak, Randall Boffman, Lenny Rose, Nadya Wynd...



Horreur / Etats-Unis (1987)




Comme Billy s’est fait dessouder dans l’épisode 1, on retrouve dans DOUCE NUIT, SANGLANTE NUIT 2, son petit frère, Ricky, à l’age adulte. Enfermé dans un pénitencier, il reçoit la visite d’un psychiatre venu l’évaluer. Comme nous sommes le 24 décembre, on se doute que la situation ne peut que dégénérer. Mais il va falloir être patient, ce n’est qu’à la toute fin du film que Ricky endosse enfin le costume de Père Noël et punit les vilains !


Comme l’intrigue tourne autour du dialogue entre le psy et Ricky, le réalisateur abuse des flashbacks. Pendant la première moitié du film, le spectateur revoit d’abord toutes les scènes marquantes du premier épisode (pas de bol pour celui qui se tape l’intégrale de la saga !), puis l’enfance de Ricky, puis son premier meurtre, puis d’autres meurtres, puis son premier amour et enfin comment il a atterri dans ce pénitencier.

Constitué d’une succession de petites scènes décousues pas toujours réussies, le film peine à captiver et ce n’est pas le jeu caricatural de Eric Freeman qui sauvera DOUCE NUIT, SANGLANTE NUIT 2 du zéro pointé.

Heureusement, on retrouve cette saleté de Mère Supérieure (même si Lilyan Chauvin a cédé sa place à Jean Miller), seul personnage réellement diabolique de la saga. Elle habite d’ailleurs au numéro 666 de sa rue, ça ne trompe pas…

Hormis cette maudite pingouine, pas grand chose à sauver dans ce film sauf quelques meurtres bien bis dont un empalement au parapluie du plus bel effet.

Film anecdotique composé pour sa moitié de scènes du film précédent, DOUCE NUIT, SANGLANTE NUIT 2 ne fait pas honneur à son aîné et s’avère très dispensable…

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