12 décembre 2016

CONDAMNE A MORT (Critique)

(SENTENCE OF DEATH)

de Matt Harlib

avec Betsy Palmer, Gene Lyons, James Dean, Ralph Dunn, Virginia Vincent, Henry Sharp, Eda Heinemann...




Policier – Etats-Unis (1953)





Après le braquage sanglant d’un drugstore, trois témoins identifient Joe Palica (James Dean) comme l’auteur des faits. Affaire bouclée pour la police et la justice : le suspect est condamné à mort. Seule une jeune femme (Betsy Palmer) présente sur les lieux du crime, affirme ne pas le reconnaître. Croisant par hasard le vrai coupable, elle convainc un policier de rouvrir l’enquête et de sortir Joe Palica (devenu Pulicca dans les sous-titres français) du couloir de la mort…

Le DVD Bach Films de CONDAMNE A MORT est vendu sur la présence de James Dean qui, à la vue de la présentation de ce téléfilm par Stéphane Bourgoin, n'a pourtant rien de très surprenant, James Dean ayant souvent travaillé pour la télévision. En outre, il incarne un personnage certes primordial, mais peu présent à l'écran.


Tout le téléfilm tourne en réalité autour d’un duo atypique et de l’enquête qu’il va mener. D'un côté une jet-setteuse faussement superficielle incarnée par Betsy Palmer (plus connue pour son rôle de maman vengeresse et déglingos dans VENDREDI 13) et de l'autre Gene Lyons (la série L'HOMME DE FER) en flic tenace et idéaliste. Les deux vont unir leurs forces et tout faire pour prouver l'innocence du condamné à mort.

Toute la force de ce téléfilm provient de ce savoureux tandem tant il fonctionne à merveille, et malgré une enquête simpliste, CONDAMNE A MORT captive jusqu'à son surprenant dénouement, le concept de twist final ne datant pas d'hier...


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...